Tout ce que vous avez voulu savoir sur le tango...
Après Arras, Orléans, Toulouse, Paris, Buenos Aires..., Denise Anne Clavilier est venue à Caen présenter "Barrio de Tango" Editions du Jasmin, véritable anthologie bilingue (avec cd) du tango argentin.
Une présentation/dédicace mais surtout une conférence sur les origines du tango devant un public qui a pris le temps d'écouter autrement cette musique.
Avoir le goût pour le tango, pour ses paroles et sa danse et comprendre pourquoi il nous touche, pourquoi il est universel.
L'Histoire que nous conte Denise Anne est un arrêt, une pause dans une vie de danseur et l'intérêt porté à cette marche prend alors un autre sens.
Quelques dates 1840, 1860, 1880. Pendant une soirée, nous voyons les Noirs dans leur tangó (maison, lieu) faire la fête à côté d'Indiens et de quelques blancs, nous entendons l' argot des immigrants qui leur permet de communiquer sans être compris par la police, nous voyons débarquer d'Espagne, d'Italie, de France... ces milliers d'hommes seuls dont la plupart sont condamnés à ne plus avoir de famille (7 hommes pour 1 femme), nous côtoyons Arolas, le tout premier bandonéoniste et le contrebassiste et compositeur Santo Discepolo...
Denise Anne Clavilier ne veut pas nous donner une leçon d'histoire, elle évoque la genèse du tango, montrant ainsi qu'il arrive par bateaux -le bandonéon- et pourtant il est déjà là, (les descendants d'esclaves), il est l'Espagne et l'Italie, l'Amérique du Sud et l'Europe de l'Est. Et plus tard il sera un mythe, il sera incarné.
Mais ça, c'est le second chapitre que Denise Anne racontera quand vous l'inviterez chez vous pour parler de cet homme qui aimait à dire :"Je suis né à Buenos Aires... à mes deux ans et demi".
Une présentation/dédicace mais surtout une conférence sur les origines du tango devant un public qui a pris le temps d'écouter autrement cette musique.
Avoir le goût pour le tango, pour ses paroles et sa danse et comprendre pourquoi il nous touche, pourquoi il est universel.
L'Histoire que nous conte Denise Anne est un arrêt, une pause dans une vie de danseur et l'intérêt porté à cette marche prend alors un autre sens.
Quelques dates 1840, 1860, 1880. Pendant une soirée, nous voyons les Noirs dans leur tangó (maison, lieu) faire la fête à côté d'Indiens et de quelques blancs, nous entendons l' argot des immigrants qui leur permet de communiquer sans être compris par la police, nous voyons débarquer d'Espagne, d'Italie, de France... ces milliers d'hommes seuls dont la plupart sont condamnés à ne plus avoir de famille (7 hommes pour 1 femme), nous côtoyons Arolas, le tout premier bandonéoniste et le contrebassiste et compositeur Santo Discepolo...
Denise Anne Clavilier ne veut pas nous donner une leçon d'histoire, elle évoque la genèse du tango, montrant ainsi qu'il arrive par bateaux -le bandonéon- et pourtant il est déjà là, (les descendants d'esclaves), il est l'Espagne et l'Italie, l'Amérique du Sud et l'Europe de l'Est. Et plus tard il sera un mythe, il sera incarné.
Mais ça, c'est le second chapitre que Denise Anne racontera quand vous l'inviterez chez vous pour parler de cet homme qui aimait à dire :"Je suis né à Buenos Aires... à mes deux ans et demi".
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