Le tango du disparu
"...Recuerdo, c'est un tango en trois parties difficile à jouer pour les bandonéonistes. Beaucoup de rythme, beaucoup de vélocité. Une mélodie compliquée. Une variation finale très technique. Et beaucoup de sentiment aussi..."
Ainsi débute le roman graphique "Le tango du disparu" signé Annie Goetzinger et Pierre Christin.
Roman noir et magnifiques gris des dessins pour évoquer la carrière du bandonéoniste Enrique Pracãnico, victime de l'organisation des escadrons de la mort, la Triple-A.
A ne pas confondre avec le "Double A", une des plus grandes marques de bandonéon. D'un côté, le fascisme, de l'autre le tango, la liberté, la culture....
A lire, à voir, c'est édité chez Métailié, une maison d'édition qui aime le tango argentin, elle l'a déjà prouvé !
Illustration tirée du roman graphique "Le tango du disparu".
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