Le mouvement d'abord
Le 1er Festival international du film policier de Beaune se termine aujourd'hui, Robert Duvall en a été l'invité d'honneur. Robert Duvall, c'est bien sûr le chauffeur de taxi dans "Bullit", l'avocat des "Parrains", le Général Kilmore dans "Apocalypse now" ou encore le flic de "La nuit nous appartient"... C'est aussi le réalisateur de Assassination tango, histoire d'un tueur à gages qui se rend à Bs As honorer un contrat, où il découvre le tango.
Dans un entretien publié par "Le Monde" du 2 avril dernier, Robert Duvall évoque le tango argentin qu'il a pratiqué à la Coupole vers la fin des années 70, "à l'époque où ça n'était pas encore à la mode".
Le goût pour le mouvement il le trouve dans cette danse et aussi dans les westerns : "Une interprétation prend corps quand on sait bouger, et c'est quelque chose d'inné. C'est pour cela que, dans un western, le choix de votre cheval est capital : il génère vos déplacements. (...) Quand j'étais jeune je me donnais du mal. Or plus un violon est vieux, plus la musique qui en émane est belle. Je pense qu'il y a de cela dans mon jeu. Au fur et à mesure que les années passent, je distille des émotions de façon naturelle."
Photo MGM
Dans un entretien publié par "Le Monde" du 2 avril dernier, Robert Duvall évoque le tango argentin qu'il a pratiqué à la Coupole vers la fin des années 70, "à l'époque où ça n'était pas encore à la mode".
Le goût pour le mouvement il le trouve dans cette danse et aussi dans les westerns : "Une interprétation prend corps quand on sait bouger, et c'est quelque chose d'inné. C'est pour cela que, dans un western, le choix de votre cheval est capital : il génère vos déplacements. (...) Quand j'étais jeune je me donnais du mal. Or plus un violon est vieux, plus la musique qui en émane est belle. Je pense qu'il y a de cela dans mon jeu. Au fur et à mesure que les années passent, je distille des émotions de façon naturelle."
Photo MGM
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