Argentine, années 40
2000, 2005, 2010 : trois années exceptionnelles dans l'histoire du tango sur lesquelles de nombreux journaux reviennent en ce moment. Il faut dire que la volonté, la passion et le travail d'Ignacio Varchausky trouvent un juste écho dans la décision de classer le tango argentin dans le patrimoine de l'humanité.
C'est en 2000 que le contrebassiste et fondateur de El Aranque initie l'Orchestre-Ecole d'Emilio Balcarce où d'ores et déjà plus de 150 musiciens venus du monde entier ont suivi la formation.
I. Varchausky : "Sur 18 élèves, la classe actuelle compte une Colombienne, deux Japonaises, un Nord-américain et un Uruguayen. Deux fois par semaine, ils se retrouvent pour 2 heures et demie de cours."
En 2005, Caroline Neal réalise "Si Sos Brujo", témoignage passionnant des rencontres, des styles avec les maestros des grands orchestres typiques des années 40 et 50. Tout un long cheminement qui aboutit à la -un clic- Escuela de Tango.
Avant les 10 ans de cette belle aventure que l'on fêtera en 2010, Varchausky a engagé un autre combat : celui de sauver des milliers de tangos, les recherchant partout dans le monde afin de les numériser.
En 2005, Caroline Neal réalise "Si Sos Brujo", témoignage passionnant des rencontres, des styles avec les maestros des grands orchestres typiques des années 40 et 50. Tout un long cheminement qui aboutit à la -un clic- Escuela de Tango.
Avant les 10 ans de cette belle aventure que l'on fêtera en 2010, Varchausky a engagé un autre combat : celui de sauver des milliers de tangos, les recherchant partout dans le monde afin de les numériser.
Photo : "Noir Tango" BD de Monin et Philibert. Edition Akileos
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