21 mars 2010

Fête du Cinéma

Aujourd'hui, en France, c'est la fête du cinéma : comment ne pas penser au grand poète argentin Homero Manzi qui a écrit tant de tangos pour le 7ème Art.

Malena, Sur, Barrio de Tango, Romance de Barrio, Viejo Ciego... Combien de poèmes, combien de chansons, tous signés Homero Manzi, nous rendent la danse encore plus belle.
Ses écrits n'évoquent-ils pas des ruelles, des cafés, des faubourgs ? Ne racontent-ils pas la tristesse, la déception, l'absence mais ausi l'amour, le désir... ? Autant de thèmes cinématographiques !
Le 7ème art lui rend tout naturellement hommage en portant sa vie à l'écran : "Homero Manzi, un poeta en la tormenta"

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je partage avec vous l'émotion intense que suscite la poésie de Manzi. En plus des incontournables tangos que vous citez, il en est un qui a pour moi une résonance particulière: Ninguna. Parlant de celle qui est pour lui irremplaçable, sans la nommer, on la devine dans l'aura palpable de ce tango: ...«No habrá ninguna igual, no habrá ninguna,
ninguna con tu piel ni con tu voz.
Tu piel, magnolia que mojó la luna.
Tu voz, murmullo que entibió el amor.»

Anonyme a dit…

Je partage avec vous l'émotion intense que suscite la poésie de Manzi. En plus des incontournables tangos que vous citez, il en est un qui possède une résonance particulière: NINGUNA. Parlant de celle qui lui paraît irremplaçable, sans la nommer, il la fait vivre dans l'aura de ce tango: ...«No habrá ninguna igual, no habrá ninguna,ninguna con tu piel ni con tu voz. Tu piel, magnolia que mojó la luna. Tu voz, murmullo que entibió el amor.»